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ZEN et MOI
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  • Notre corps est une machine complexe dont il faut prendre soin pour une meilleure santé et une longévité dans de bonnes conditions ! Vous pouvez changer certaines choses de votre vie mais vous êtes obligés de garder votre corps pour la vie ! Pensez-y !
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LES SYMBOLES TIBETAINS ET LEUR SIGNIFICATION

LES YEUX DE BOUDDHA
Le regard de Bouddha n’est ni triste, ni joyeux, ni sévère. Ce n’est pas le regard qui juge ou qui exprime. C’est le regard qui voit, qui sait tout.  Il évoque la présence céleste et affirme son implication dans la vie quotidienne. En guise de nez, le  chiffre « un » népalais qui ressemble à un point d’ interrogation évoque le caractère unique du Bouddha.

 

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OM MANI PADME HUM
Om Mani Padme hum - Invocation bouddhique, restée extrêmement         populaire au Tibet. Composée de deux mots sanscrits entre deux interjections magiques, elle signifie « Om! le         joyau sur le lotus, Hum! », et s'applique sans doute au Bouddha, l'un des « Trois joyaux » du bouddhisme         et qu'on représente toujours assis ou debout sur un lotus épanoui. Son énonciation en toutes circonstances         et son inscription en tous lieux passent pour avoir une grande vertu.

 

Signification_Pictures1/Om_Mani_Padme_Hum.jpg

 

LE NOEUD SANS FIN
Noeud de la vie infinie et de la félicité
Ce signe symbolise la perfection, la plénitude ou bien         la gloire des cinq sagesses. Il est parfois qualifié de "noeud" sans fin et associé à la notion         d'"interdépendance". Cette notion est très importante dans le bouddhisme tibétain, dans la         mesure où tous les phénomènes sont considérés comme interdépendants et liés         à l'existence de causes et de conditions

 

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ASTAMANGALA
 

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La bannière, signe de la victoire de la doctrine                     du  Bouddha. Elle représente la victoire  sur les négativités et les  obstacles grâce aux actes                     accomplis par le corps, la  parole et  l'esprit. Elle témoigne aussi de la complète victoire du Dharma (la                       doctrine du Bouddha)  sur les forces du mal. Elle se dresse au sommet du  Mont  Meru, considéré par les                     fidèles comme le centre de l’univers  bouddhiste. Elle  symbolise aussi le triomphe sur l´ignorance.                  

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La conque, symbole de l’absence du “Mal”,                      gloire de  tous les saints.Elle symbolise le son du  Dharma profond qui éveille les  êtres du sommeil de l'ignorance                     et les incite à  accomplir leur propre  bien ainsi que celui des autres êtres.                  

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Le lotus parfait, la pureté. Il symbolise la                      purification du corps, de la parole et de  l'esprit, ainsi que le plein  épanouissement de l'activité bénéfique                     dans l'état  de libération. Il  est l'emblème de l'élévation spirituelle.                                                    Cette fleur, probablement la plus  significative d’Asie, naît du limon pour  ouvrir sa                     corolle au soleil.  Elle est le symbole parfait d’une conception  bouddhiste du monde.                  

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Le noeud  sans fin, noeud de la vie infinie et de                     la  félicité. Il représente  l'interdépendance de toutes choses, ou loi des  causes et des effets.Il                      symbolise l'union de la sagesse et de la  compassion.                  

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L’ombrelle, symbole de dignité royale                     qui protège de  tous les maux. Elle symbolise l'activité qui  protège les êtres. En  cette vie,                     elle les garde des maladies, des obstacles,  des accidents,  des esprits malins.                                Dans                     leur vie à venir, elle les protège  des souffrances des mondes inférieurs  (enfers, esprits avides et                      animaux).                                Elle symbolise aussi la joie de la fête  des actes positifs, rafraîchie                     par son  ombre.                  

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Deux poissons d‘or, symboles de la libération                     par la  souffrance, signe de fertilité. Symbole du bonheur et  de la richesse,  de l’abondance, de la prospérité                     et de la fertilité.                   

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La Roue de la Loi, elle symbolise                     la  mise en mouvement de la roue du  Dharma, c'est à dire la propagation de  l'enseignement du Bouddha, à la                     fois  sous sa forme théorique et sous sa  forme pratique, dans toutes les directions  et dans toutes les époques,                      enseignement grâce auquel les êtres connaissent le  bonheur des actes  positifs et de la libération.                                                  

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Le vase, d’abondance, contenant le nectar de                      l‘immortalité, symbole de richesse  intellectuelle. Il représente une  pluie sans fin de longue vie,                     de richesses, de  prospérité, de tout ce  qui est bon pour les hommes dans le domaine temporel et  spirituel.                     Son  embouchure est surmontée d'un joyau flamboyant.

 

YIN YANG
Dans la philosophie chinoise, le yin et le yang sont deux catégories symbiotiques et complémentaires,         que l'on peut retrouver dans tous les aspects de la vie et de l'univers. Leur complémentarité se démarque         des couples opposés, plus répandus dans les philosophies occidentales, comme l'idée du Bien et du Mal. Par exemple : • Le yin est associé à la Lune qui représente la part féminine de la nature.          • Le yang est associé au Soleil qui représente la part masculine de la nature. Certains ont proposé que les termes yin et yang viendraient des mots sanskrits linga et yoni.         Néanmoins, ils apparaissent avant l'introduction en Chine du bouddhisme, véhicule de la culture indienne. On         les trouve en effet au chapitre 42 du Dao De Jing : « Le Dao donne naissance à l'un, l'un au deux, le deux au         trois, le trois aux dix mille choses et êtres, les dix mille choses et êtres supportent le yang et embrassent         le yin » 4. Tout peut être décrit en         terme de yin et yang, qui se trouvent : • En relation         d'opposition, tout en sachant que chacun des deux porte en lui le germe de l'autre ; • En relation d'interdépendance, l'un ne se concevant pas sans l'autre ; l'excès         ou la déficience d'un des deux entraîne des conséquences sur l'autre et un déséquilibre         de l'ensemble ; • En relation d'engendrement et de         mutation de l'un en l'autre, comme par exemple lorsque le jour fait place à la nuit ; • Le yin et le yang peuvent chacun se subdiviser en sous éléments yin et yang         ; ainsi, si l'on ne distingue que deux catégories dans le concept de température, le froid est yin et la chaleur         yang, mais il est possible de subdiviser la notion de chaleur en deux selon un quelconque critère, et de distinguer         une chaleur yin et une chaleur yang

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KALACHAKRA
En sanskrit, Kala se réfère au temps et Chakra à la         roue ; Kalachakra signifie donc la roue du temps. Cette roue du temps nous fait remonter le temps, jusqu’à l’année         où Bouddha reçut l’illumination et où le roi Suchandra de Shambala en Asie centrale lui demanda         de lui enseigner le tantra de Kalachakra. Bouddha se manifesta donc sous la forme de la divinité de méditation         Kalachakra (représentant le temps omniscient et omnipotent) au stupa de Shri Dhanyakata dans le sud de l’Inde         et y transmit l’initiation et l’enseignement. C’est de là que ce cycle ancien, mystique et complexe         des enseignements tantriques du Kalachakra s’est répandu à travers le monde et fut transmis d’un         Dalai Lama à un autre pour finalement parvenir au XIVème Dalai Lama actuel qui livre la 30ème initiation         de sa vie à Amaravati. Kalachakra nous relie à tous les êtres et toutes les formes de vie. Sa Sainteté         explique comment ce système de méditation, considéré comme suprême dans le bouddhisme tibétain,         est fondé sur le développement d’une compassion qui embrasse tous les êtres, exprimant l’amour         de Bouddha « illimité et relié à tout ». En ce sens, les enseignements de Kalachakra, pour         sophistiqués qu’ils soient et bien qu’ils appartiennent au Vajrayana, se situent dans la continuité         du Mahayana et ils sont donnés par le Bouddha, au nom d’une compassion extrême, pour faire mûrir         le karma de tous les êtres.

 

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DORJE / VAJRA
 
Le vajra, mot sanscrit signifiant « foudre » ou          « diamant », est un symbole important dans l’hindouisme et surtout dans le courant vajrayana du bouddhisme,         à qui il a donné son nom : « voie du vajra ». Il y désigne entre autres un instrument rituel.         Il est appelé dorje ( pierre noble ) en tibétain Le vajra, arme sans pareille, représente l’upaya,         moyen efficace qui détruit l’ignorance. Le symbole formé de deux vajras croisés se nomme visvavajra         (vajra de l’univers), en tibétain dorje gyatram ou « double vajra. » Son nom sanscrit est lié         à un mythe cosmogonique qui prétend qu’il fut le premier objet de l’ univers à prendre forme         à partir du vent. Il est le symbole de l’action efficace par excellence, et l’attribut du bouddha transcendant         Amogasiddhi, chef de la famille du karma (action). Le signe du vishvavajra est imprimé sur le socle des statues pour         marquer leur achèvement. Dans les rituels, le vajra est souvent employé avec la cloche ghanta. Il symbolisent         alors respectivement le masculin et le féminin, l’action efficace (ou la compassion) et la sagesse. Le préfixe         vajra ou dorje peut être ajouté devant de nombreux termes, manifestant leur association avec le rituel tantrique         ou leur aspect transcendant. De nombreuses déités portent un nom préfixé par 'Vajra et sont représentées         avec un vajra en main : Les divinités d’aspect féroce tiennent quelquefois en main un vajra ouvert dont         les branches ne sont pas repliées, ressemblant plus à une arme.

 

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BOUDDHA

L'homme qui devint le Bouddha naquit sous le nom de Siddartha Gautama, au Nepal, il y a plus de deux         mille cinq cents ans. De naissance princière au sein d'un clan de guerriers, il se maria et eut un fils. Bien qu'il         ait vécu dans le plaisir, le luxe et l'aisance, il ne cessait pas d'éprouver une profonde insatisfaction, au         point qu'une nuit, alors qu'il était dans sa trentième année, après un dernier regard à         son épouse et à son fils endormis, il se faufila silencieusement hors du palais. Chevauchant son coursier, il         atteignit les frontières de son royaume, se coupa les cheveux et la barbe, et revêtit la robe safran d'un ascète         errant. Il vécut d'abord sous l'autorité des maîtres de l'époque, puis forma avec cinq autres disciples         son propre groupe. Il acquit une certaine renommée dans la pratique des austérités, mais après         avoir mené cette sorte de vie pendant six années, il dut en arriver à la conclusion qu'il était         encore loin de pouvoir transcender, ou comprendre, la condition humaine. Lorsqu'il décida de renoncer à la pratique         des austérités, le reste du groupe, scandalisé, s'éloigna de lui en disant qu'il était         retourné à une vie inférieure. Il partit alors dans la forêt, seul. Là, il demeura, avec         une force renouvelée, développant la concentration avec la pratique de la méditation. À la nuit         de la pleine lune de mai, alors qu'il était assis absorbé dans la contemplation du corps et de sa respiration,         ayant rendu son esprit malléable et flexible, il le dirigea sur les aspects fondamentaux de la vie. Comme il pénétrait         en esprit au cœur de ces questions, s'éleva la connaissance, s'éleva la vision, s'éleva la lumière.         Il avait atteint l'éveil total et parfait. Il avait atteint un état de force de l'esprit infrangible, de vision         claire et parfaite, de bienveillance sans limites et pour tous les êtres. Il avait extirpé en lui l'avidité,         la haine et l'ignorance. Il avait surmonté la souffrance sous toutes ses formes. En atteignant l'éveil, il avait         atteint ce qu'il y avait à accomplir dans toute vie et il se trouvait dans un état de contentement absolu. Pourtant,         par compassion pour le monde souffrant, il passa les dernières quarante-cinq années de sa vie à enseigner         les moyens -ou dharma- par lesquels d'autres pourraient à leur tour réaliser cette expérience. Ce que         nous appelons aujourd'hui le bouddhisme, sous toutes ses différentes formes culturelles, n'est autre que l'héritage         de cet enseignement.

 

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GANESH

Dans l’hindouisme, Ganesha, Ganesh souvent appelé Ganapati dans le sud de l’Inde          - « le seigneur des troupes de divinités » ou mieux « le seigneur des catégories » -          est le dieu de la sagesse, de l’intelligence, de l’éducation et de la prudence, le patron des écoles         et des travailleurs du savoir. C’est le dieu qui lève les obstacles. Il est le fils de Shiva et Pârvatî,         l’époux de Siddhî, le succès et de Riddhî, la richesse. Shiva, rentrant d’une longue         période de méditation dans l’Himalaya, trouva un jeune homme barrant la porte de sa maison pour l’empêcher         d’entrer tandis que Pârvatî prenait son bain. Le jeune homme était le fils que la (demi-)déesse         s’était conçu, au moyen de la poussière et des onguents qu’elle avait raclé de sur         sa peau, pour lui tenir compagnie durant sa solitude. Furieux de se voir interdire l’entrée de sa maison, Shiva         sortit son épée et coupa la tête de son « fils » qui roula au loin et devint introuvable.         S’apercevant de cela, Pârvatî lui raconta toute l’histoire et, inconsolable, exigea qu’il redonne         vie à son fils sur le champ. Shiva promit qu’il remplacerait la tête par celle de la première créature         qui se présenterait. Un éléphant passa... Par cet acte, et bien que Ganesh ait été conçu         sans lui, Shiva assume sa paternité.
Le symbolisme de Ganesh Les qualités attribuées à Ganesh, telles que la capacité         à écarter les obstacles, sont celles de l’éléphant. C’est en effet le seul animal         de la création capable de balayer de sa masse énorme les obstacles qui entravent sa marche et, brisant à         l’aide de sa trompe branches et racines ou déracinant les arbres, se fraie un chemin au creux des fourrés         les plus épais, comme dans les forêts les plus impénétrables. L’éléphant est         aussi reconnu par les hommes comme un animal pourvu d’intelligence, de sagesse et d’une mémoire prodigieuse.         Les différents et plus courants attributs de Ganesh sont : - La hache, héritée de Shiva, est un symbole de puissance. - Le noeud coulant permet de capturer l'erreur, qui empêche         l'être humain d'avancer quête de la vérité. La corde est le lien invisible de l’Unité         reliant la multiplicité des êtres et des choses. - Le modaka est un gâteau dont Ganesh raffole. - La défense brisée. - Le crochet (ankusha) pour diriger les éléphants, symbolise         son règne sur le monde. -         Le serpent en guise de ceinture représente l’énergie (shakti) dormant en tout être vivant. - Sa trompe imposante courbée tantôt         à gauche tantôt à droite correspondent aux deux voies par lesquelles les obstacles peuvent être         contournés et le but suprême atteint.
- Sa monture est une souris. L’atman est comme une souris qui vit dans un trou appelé         l’intellect, à l’intérieur du cœur de tous les êtres.

 

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Tara,  Dölma ou Sgrol-ma   
 
"La Libératrice”,    "Celle qui sauve",    "Celle qui aide à traverser la rivière du temps et         de l'espace" est un  Bodhisattva*  féminin très populaire et une divinité féminine issue         de  l'hindouisme.                                Elle incarne l’aspect féminin de la compassion et  dans le Bouddhisme tibétain  elle représente         une divinité très  populaire. Pour les Tibétains, elle est la mère bienveillante et   protectrice,         vers laquelle ils tournent  leurs prières dans toutes les  difficultés de la vie quotidienne.                        La  légende de Tara : Selon         la tradition, Tara   était, à l'origine, une jeune fille qui devint une déesse. Tout commence  dans          la nuit des temps, à l'époque du Bouddha "Son du Tambour". Vivait   alors une princesse du nom de         "Lune de Sagesse" qui, pendant dix   millions d'années, fit chaque jour d'immenses offrandes à Son         du Tambour  et à  ses disciples. Elle fit aussi, en sa présence, la promesse  d'atteindre l'Eveil  pour secourir         tous les êtres, et de se consacrer  sans cesse à leur bien. Les  moines lui dirent alors que, pour atteindre          son but, elle devrait prier afin de  renaître homme et non point femme.  Lune de Sagesse, qui ne voyait rien à         redire  à sa féminité, n'apprécia  guère leur commentaire et, après leur avoir fait          remarquer que, en ce  qui concerne l'Eveil, il n'existe ni homme ni femme, elle  leur déclara:  "Beaucoup désirent         l'Eveil dans un corps masculin, mais  personne  n’œuvre pour le bien des êtres dans un corps féminin.         C'est pourquoi,   jusqu'à ce que le Samsâra** soit vide, je travaillerai pour le bien-être  de  tous les         êtres dans un corps féminin". Puis, pendant dix millions  d'années,  elle pratiqua jusqu'à         ce qu'elle atteigne la complète  réalisation et devienne  capable de libérer dix millions d'êtres         chaque  matin et autant le soir. C'est  alors que Bouddha Son du Tambour déclara  qu'elle serait désormais connue         sous  le nom de "Tara", la Libératrice.                         Il existe 21 formes différentes de Tara, dont les  principales sont         Tara Verte,  qui protège de tous les dangers, et Tara  Blanche, qui assure une longue vie.  Assise en position du lotus,         Tara  tient un lotus de la main gauche et possède des  yeux au milieu du  front, dans chaque paume de la main et sur         les plantes des  pieds.                                Au VII ème siècle, au Tibet, on pense que Tara  s'incarne dans chaque femme  vertueuse.         Fondateur de la ville de Lhassa,  le roi Songtsen Gampo (7ième s. ap.  J-C) épousa deux princesses  vertueuses         : la fille de l’Empereur de Chine et la  fille du roi du  Népal, toutes deux bouddhistes. C’est ainsi qu'on         assiste alors  à la  création de la Tara blanche qui correspond à l'épouse chinoise (portant          un  lotus épanoui) et la Tara verte, correspondant à l'épouse népalaise  (portant un  lotus bleu).                                 Déesse         ayant rang de bodhisattva, on la prie afin  d'obtenir son aide pour  surmonter les périls de la vie.                        *Bodhisattva:(sanskrit). « Être         éveillé ». Etre  qui  aspire à acquérir l'état de bouddha par l'exercice systématique         des  vertus  parfaites, mais qui renonce à jouir du Nirvâna parfait tant que  tous les êtres  ne sont pas         sauvés. La vertu qui détermine toute son  action est la compassion.  Le bodhisattva apporte une aide efficace:         il  est prêt à assumer la souffrance  de tous les êtres et à transmettre à  d'autres ses         propres mérites karmiques.                                **Samsara: (skrt). Littér. « Migration ». Le  “cycle  des existences“,          suite de renaissances au sein des différentes  conditions  d’existence auxquelles un individu ne peut se dérober         tant  qu’il n’a pas obtenu  la délivrance et atteint le Nirvâna.  L’enchaînement au Samsâra         est la  conséquence des “Trois Racines du  Malsain”, qui sont la haine, le désir et  l’ignorance.         La condition de  renaissance est conditionnée par le Karma de  chacun.

 

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